Mes Objectifs
Par La Cie Doré
De et avec Sandrine Le Métayer
Lumières de Philippe Férat
C’est l’histoire d’un clown qui vient jouer son spectacle… Un spectacle avec des numéros de magie, de cuisine et de danse, pourquoi pas ? Le clown s’avance avec tout ce qu’il sait faire, ou ce qu’il croit savoir faire, et son courage. Il a répété, ou tout au moins, imaginé quelque chose, mais aujourd’hui les gens sont là et tout est différent… Il a bien une idée de ce que doit être son spectacle, il a cru savoir à quoi devait ressembler un spectacle, mais finalement est-ce que son spectacle est bien un spectacle ? Ce qu’il avait rêvé lui file entre les doigts, l’abîme est devant lui : son spectacle est un drôle de navire sans capitaine, et lui un simple passager.
Presse :
« (…) Sandrine la Métayer fait partie des comédiens qui travaillent le clown dans sa spécificité, avec, à la clef, un très beau comique, bizarre et absurde à souhait, et de très riches perspectives d’invention (…)Qu’elle essaie de cuisiner un canard aux pommes de terre, de se peigner, ou de chercher une adresse dans l’annuaire, son clown se noie, lentement, dans l’absurde, presque avec méthode - car son clown philosophe et commente la catastrophe avec dignité et application. L’art du clown : se noyer, surtout se noyer, dans tout verre qui se présente. L’élégance de Sandrine le Métayer est de choisir des verres petits et décalés pour y sombrer avec persévérance. Autant de « régalades » pour le public. (…) » D.S Regards
« Sandrine la Métayer a subjugué le jury par un numéro de clown philosophe et acrobate d’une grande finesse tant dans le texte que dans l’interprétation. » (Gradins du risque, les Hivernales / Avignon) Le Dauphine Vaucluse « (…) Méfiez-vous des apparences. Si les clowns vous semblent de doux rêveurs, ils sont aussi des êtres humains comme les autres et cachent parfois sous leur crâne une vraie tempête existentielle. À l’exemple du personnage de Sandrine le Métayer qui porte son nez rouge comme un point d’interrogation. Un clown philosophe en somme qui partage ses doutes avec l’assistance un soir de représentation pourtant bien rodée.(…) » N.V Le Comtadin
